L'une des exigences est que pendant le transport, les animaux doivent pouvoir se coucher, se retourner, marcher et avoir libre accès à l'eau et à la nourriture.

Ce sont les nouvelles exigences pour l’exportation de bétail vivant

L’Institut agricole colombien (ICA) a publié pour consultation publique la résolution qui établit les exigences sanitaires, de bien-être et de sécurité des animaux pour la certification des établissements d’exportation de bovins vivants et de buffles.

« Avec cette résolution, nous garantissons les meilleures conditions de santé et de bien-être aux animaux que nous exportons sans affecter la production ou le commerce international », a déclaré la ministre de l’Agriculture, Cecilia López Montaño. Et il a invité les Colombiens à apporter leurs commentaires à la construction de cette norme.

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🐮 Quelles sont les exigences ?

Afin que les producteurs obtiennent la certification, le respect des exigences suivantes sera vérifié lors d’une visite technique :

  • 📄 Ayez un plan de santé émis et formé par un vétérinaire ou un zootechnicien qui contient les plans de vaccination, les procédures de gestion des animaux et le processus de contrôle des parasites, entre autres.
  • 💊 Les logements doivent être situés dans une zone indemne de fièvre aphteuse avec ou sans vaccination.
  • 😷 Disposer d’une zone d’isolement dûment identifiée pour la séparation des animaux malades sur les lieux.
  • 🌽 Avoir des enclos d’attente pré-embarquement avec suffisamment d’espace pour la nourriture, l’eau et le repos, selon les animaux à exporter.
  • 🛳️ Avant l’embarquement, le temps minimum des animaux dans les enclos doit être documenté pour vérification ICA. Ce sera 14 jours calendaires avant l’exportation ou 30 jours, lorsqu’il est nécessaire d’effectuer des processus de test de diagnostic.
  • 💧 Pendant le transport, les animaux doivent pouvoir se coucher, se retourner, marcher et avoir libre accès à l’eau et à la nourriture.
  • 🐄 Lors du transport d’animaux, un nombre suffisant de mangeoires doit être assuré, selon le stade de production.
  • 🚛 Avoir suffisamment d’espace pour répondre aux besoins de confort et de nourriture dans les transports.
  • 🩸 Les aliments équilibrés ou les compléments alimentaires et minéraux contenant de la farine, du sang et des os vaporisés ne doivent pas être utilisés.
  • 👌 Avoir un rapport de gestion lié au bien-être animal.
  • 💉 Avoir l’assistance technique d’un vétérinaire ou d’un zootechnicien avec une inscription professionnelle en cours.

Ceux qui souhaitent connaître d’autres exigences ou faire des commentaires sur ce règlement peuvent le faire. ici. L’espace de suggestions sera disponible jusqu’au 2 janvier 2023, via le Système Unique de Consultation Publique (SUCOP).

Il convient de rappeler que le ministère de l’Agriculture, à travers l’ICA, a mis en place d’autres mesures pour garantir la sécurité et le bien-être des animaux.

Certaines stratégies mises en œuvre sont l’assistance obligatoire du vétérinaire ou du zootechnicien, la conception d’une méthodologie pour évaluer le bien-être animal à différents moments du processus, le rapport maritime final validé par le vétérinaire accompagnateur et le capitaine du navire à moteur, entre autres.

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